La lutte contre l’immigration clandestine constitue une préoccupation commune à nos deux pays. Pays de transit, le Niger a mis en œuvre, conformément aux conclusions du Sommet de la Valette du 11 au 12 novembre 2015, un plan de lutte contre la migration clandestine qui a permis de réduire considérablement le flux de migrants en s’attaquant aux causes profondes de ce fléau, notamment la pauvreté.

C’est le lieu ici de saluer la mise en œuvre, depuis le 18 septembre 2019 du projet « réduction des effets négatifs de la migration des femmes et des jeunes hommes en investissant dans leurs capacités productives » Financé par le gouvernement italien a hauteur de 1.500.000 euros via l’Agence des Nations Unies pour les femmes (ONUFEMMES), ce projet a pour objectif de soutenir 1500 femmes et 1000 hommes issus des cinq communes du département de Kantché, Kourni, Daouché, Ichirnawa et Dan Barto, pour une durée de deux ans.